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Atelier “Désir de Francophonie” à Strasbourg
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Atelier “Désir de Francophonie” à Strasbourg

Atelier : Venez mesurer votre désir de francophonie.

La francophonie est un fait mondial, qui compte 321 millions d’humains répartis
dans 88 états, ayant l’usage de la langue française, souvent simultanément
avec d’autres langues.

Pour son développement, la francophonie doit susciter le désir d’y adhérer.

L’atelier demande aux participants de dépasser la simple dimension linguistique et d’explorer
ce que les francophones peuvent réaliser ensemble et en français, pour relever
les défis du développement le plus durable possible.

Déroulement de l’atelier.

1 Evaluation individuelle :  le francophone, qui  s’éveille en vous individuellement

2 Constitution de groupes  de travail.

Le fait francophone dans le monde, les défis. Quizz

Les institutions de la francophonie, quelques initiatives francophones.

3 Proposition de thèmes d’action locale dans la OLM/JCEL ou entre OLM francophones, La
solidarité francophone grâce au partenariat

4 Evaluation collective

Animé par : Par Dominique CAILLET. Sénateur JCI #58396,

Vice-président du CSF réseau et prospective.

et Jean-Pierre Chiaverini, Sénateur JCI #52963, Président du CSF.

L’atelier francophonie du 20 juin 2025à Strasbourg.

Contrairement aux précédents ateliers, celui-ci  s’est tenu pendant la convention nationale JCEF,  où  le contexte
est moins contraint. La fin d’une année  ou d’un mandat est le moment de penser à
l’exercice prochain, et de clore l’exercice ecoulé et de passer à autre chose, on
dispose de plus de temps, ou de sérennité pour travailler en profondeur sur le
sujet de la francophonie.

Le but de ces ateliers est de faire passer le message de la solidarité francophone,  « entre francophones et dans la
Francophonie »,  d’assurer  la promotion du CSF auprès de ceux que la
question de la solidarité francophone intéresse, faire progresser notre nombre
d’adhérents en France, et inciter les jeunes, voire les jeunes anciens à
s’investir.

L’atelier comporte trois phases.

1 L’initialisation permet une évaluation par chacun des participants  de
son état d’esprit, en tant que francophone.

2 en élargissant la focale à l’espace francophone de par le monde, la deuxième phase vise à aborder :

– la  Francophonie,  dans son aspect politique, géopolitique

– la francophonie,  la langue francaise dans sa diversité, qui réunit
340 millions de francophones, dans 92 états-membres  de l’Organisation internationale de la
Francophonie.

3 A la fin, les groupes mobilisent  les acquis en identifiant des projets  proposables
dans leur locale, à court terme, pour le 20 mars 2026, puis à plus long terme
par exemple dans l’implication à l’international, jumelage entre OLM de villes
jumelées, coopération décentralisée, recherche de partenaires francophones sur
des besoins recensés par ailleur.


La majorité des 10 participants avait recu une formation en méthodologie,
offrant un
 support méthodologique.

La JCE de PARIS a exposé son événement du 20 mars 2025,
démontrant ainsi qu’une Locale peut réaliser un événement ‘francophone’,
surtout après s’être motivée lors de l’atelier d’Orléans en 2024.

Quelles conclusions en tirer ?

Les ateliers depuis 2018 ont touchés plus de 100 jeunes, inités sur ce sujet. Ils recoivent tous la communication du CSF. La convention entre la JCEF et le CSF comprend la remise d’un prix dedié à une action d’une locale OLM, dans le domaine de la Francophonie. Ce type d’atelier est un moment privilègié pour détecter les locales les plus allantes.

La démarche envers les locales appelle un accompagement dans la durée, par le CSF et son réseau. La durée de présence chez les juniors est de l’ordre de 3.5 ans. Dans le cadre de la convention JCEF-CSF, il est possible de désigner des correspondants locaux du CSF travaillant pour le CSF dans la durée, conformément  au projet associatif, pour assurer un accompagnement  et de suivi de locales, impliquées dans la francophonie/francophonie.

Le profil idéal est le « jeune ancien, sénateur ou non sénateur »  en dehors de la locale, mais reconnu et , toujours connu dans la fédération ou dans une ou plusieurs locales. La mission comporte un multi-partenariat de veille,  et de réseautage pour pouvoir servir de reférentiel ou de centre de ressouces pour les partenaires du CSF, donc ici dans ce cas les locales. La récurrence  du 20 mars, journée internationale de la francophonie, donne des dates de revoyure.

Rappelons que notre ADN est la solidarité francophone, entre francophones  et non de contribuer à des querelles  académiques  d’universitaires, decalées du vécu quotidien. Dans notre projet associatif la langue francaise, dans sa diversité est l’outil naturel de la solidarité entre francophones.

Globalement  des projets des locales OLM en francophonie, sont par nature des projets à l’international, pour lesquels le réseau du CSF est en position de prodiguer une bonne partie de cet accompagnement.


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